Concours-Internet transnational «Maya». Vidéos, photos, affiches, dessins contre la toxicomanie et l'alcoolisme

Dans notre quartier vivait un toxicomane qui s’appelait Isa. Le caucasien bien soigné dès le début, il n’avait jamais besoin de quelque chose. Son père était très riche. Pendant l’URSSВ il avait le capital environ un demi-million de roubles. À ce temps là, c’était une somme fabuleuse.

Dans la famille Isa était le fils aîné, et son père le gâtait beaucoup. Quand il avait 18 ans il a déjà changé trois voitures. Il a cessé de faire ses études à l'Institut. Il ne se refuse rien. Il ne savait pas de la notion «il n’y a pas». Il se conduisait comme un roitelet, se comportait altièrement, exigait le respect pour soi-même et le percevait comme quelque chose ordinaire. Il était incapable de gagner de l’argent. Son père le délivrait de la prison et traitait plusieurs fois de la toxicomanie, mais tous était inutile.

Quand il avait 30 ans, les argents sont dévalorisés, et son père a perdu sa fortune. Il a réussit à acheter quelques maisons, mais par rapport de ce qu’il avait c’était rien.  À cette époque-là on pourrait acheter la maison pour 10 mille roubles. Après cela il est tombé malade et dans deux ans il est mort.

Les premières années de la mémoire de son père les gens lui échapait belle beaucoup de chose. Puis tous était pire. Il a commencé à sortir de la maison tout les argents laissé par son père. Ensuite il commencait à voler dans les maisons, où il arrivait. Pour lui c'est devenu le business. Il prenait non effrontément, mais en cachette, et ensuite prouvait avec l'écume à la bouche qu’il ne prenait pas. Beaucoup de gens ne voulait pas le contacter à cause de la mémoire de son père et juste essayait de ne pas le laisser entrer à la maison.

Un jour nous étions avec lui chez moi, et on m'a apporté l'allocation pour l'enfant pour 3 mois. Je suis entrée dans la pièce et j’ai mis les argents sous le livre. Nous nous sommes piqués, puis il m’a demandé d'apporter de l'eau. Quand je retournait, j'ai compris que les argents ne sont pas déjà là – je savais ses manières. J’avais raison.

Il prouvait avec rage que j'ai oublié, où je les ai mis. Il disait avec la morgue: «Je peux me déshabiller si tu veux?». Il ne pensait pas que je répondrai par l'affirmative... En conséquence il devait se déshabiller jusqu'au slip, et je voyais les argents roulait dans un tube, mais il dit effrontément : «Tu vois, je n’ rien? Nous les trouverons ensemble, où tu les as mis». J'avais tellement honte que j' aurais voulu être à cent pieds sous terre. Je n’ai rien dit, je pensait qu’il les sortira et puis «trouvera» dans un autre endroit. Mais il n'a rien dit, est parti. J'ai été choquée par son audace. «N’a pas pris - non voleur» c’était sa devise.

Il était condamné pour la première fois quand il avait 37 ans, ensuite il revenait souvent à la prison. Son père n'était pas aussi un bon ou noble, mais par rapport d’Isa il était  – un ange. Il était du monde, où il y avait de grandes sommes, et les argents ont décidé tout, et son fils est tombé jusqu’au vol petit. Des princes – à la boue par le visage.