Concours-Internet transnational «Maya». Vidéos, photos, affiches, dessins contre la toxicomanie et l'alcoolisme

Les toxicomanes sont différents. Vous connaissez déjà des personnages négatifs de mes récits, mais j'ai des exemples quand la personne ayant passé par tout, a pu se lever et commencer la vie normale. Tels cas ils ne sont pas beaucoup mais ils existent.

Pendant le programme de méthadone j'ai rencontré une femme qui s’appelait Lilya. Elle était d’une famille malheureuse. Le père les a abandonné, et la mère a commencé utiliser d’alchool. En fait elle était élevée par sa voisine, l'amie de sa mère, et elle vivait dans deux maisons. Ensuite sa mère est morte, et Lilya a commencé se débrouiller comme elle pouvait pour survivre. À 14 ans elle faisait déjà de l'argent, en allant «sur les plans» – les champs pour la collecte du chanvre.

Lilya était très belle, et qund elle avait 16 ans elle était prise en mariage par la personne beaucoup plus âgé qu'elle, mais elle vivait non longtemps avec lui. De la prison est venu le voisin, qui est tombé amoureux à cette belle femme. Il était audacieux et il ne connaissait pas le mot «non». C’était les années 90, la débauche de la criminalité, et il a emmené Lilya de sa famille sans aucune problèmes. Bien sûr, tout d'abord elle s'est indignée, mais sa fermeté et l'impertinence a charmé son coeur. Elle pensait qu’elle est maintenant en parfaite sécurité, qu'elle a trouvé la protection et le repos. Mais, hélas …

Il était un toxicomane, s'occupait des pillages, les brigandages, le racket, l'extorsion et l'impliquait dans tout cela. Après ce qu’elle est devenue une toxicomane ils ont vendu la maison de sa mère et tous les argent ont dépensé pour les drogues. Ils devaient toujours courir de la milice et changer les adresses. Elle ne pouvait le rester – il la tuerait, elle était témoin comme il a tué une fois un homme pendant le pillage.

Un beau jour tout cela s'est fini. Il était arrêté et Lilya était obligé de fuir à la Russie pour quelques années. Quand elle est revenue, il était toujours à la prison, mais faisait savoir sur lui-même, en lui demandant les transmissions et l'argent.

Quand dans le pays est apparu le méthadone, elle s’est inscrit au programme et s'est installée travailler sur le point de la distribution des seringues. Il était impossible de trouver un autre travail avec sa biographie. Les premier jours, certes, il avait des servages – elle se piquait, et consommait des comprimés – mais ensuite elle a réussit à trouver un emploi au bureau de l'organisation s'occupant des problèmes des toxicomanes. Et elle a tout jeté.

En même travail elle a rencontré un homme. Il passait la moitié de sa vie dans les prisons, se piquait, mais ensuite il est venu à l'église et au travail de l'ONG. Ils se sont rencontrés et commençaient à vivre ensemble, en s'entraidant. Lilya a créé un fonds public et travaille avec ceux qui veulent sortir de la drogues.

Ils ont vécu ensemble déjà quelques années. Elle est très malade, mais il la soutient pendant les moments difficiles, et ils sont heureux. Je suis contente, si de 10 destins que je connais les deux s'achèvent bien, c'est formidable. La pratique montre qu’on peut arrêter la drogue, il faut avoir la volonté et il faut aspirer à cet objectif, et pour faire cela, il y a deux voies: soit de venir à Dieu, ou travailler dans des ONG en aidant aux autres à faire face à leur vice.