Je suis un toxicomane. Bien que pour l’instant je ne pique pas, mais je connais que je suis un toxicomane. Puisque il n’existe pas des anciens toxicomanes. À l'intérieur de nous-mêmes, dans le cerveau, nous resteons toujours les toxicomanes – les habitants des sous-sols et des bouge, des petits voleurs avec les yeux convoitisé une dose.
J'ai suivi un traitement. Déjà 2 ans de la rémission. Toute ma jeunesse narcotique est partie. Ce n’est pas une blagues de consommer la drogues à partir de 17 ans... La consommation de drogues était tout pour moi. Mais maintenant tout va bien. Ma mère est heureuse. Même papa a cessé d’utiliser d’alchool, plus exactement, il s’est codé, pour ne pas donner un mauvais exemple. Mais j’ai déjà 23 ans, Dieu merci, je comprends tout.
La chose principale dans ma vie est ce que j’ai la vie. Tant de fois je pourrai crever, tant de fois on voulaient me tuer, même une fois j’essayais de me suicider. À ce moment là mes amis ont "réussit". Et moi je n’ai pas pu, bien que je tellement voulais le faire. En réalité, c’est moi qui les a tué, les gars de 20 ans. L'ironie du sort, voici ma parole.
La nuit suivante, le sous-sol, moi et mes deux amis, on est ensemble à partir d’école, tous doucement nous a commencé casser. Pas d'humeur. L’absence des perspectives. Je me suis questionné - "Pour quelle raison vivre?". Ensuite il y avait beaucoup d'idées et les conversations morveuses avec les amis. En général: nous avons decidé qu’il faut finir avec tous ça. Plus précisément, j’ai suggéré, j'ai insisté, ils ont accepté. Il ne s’agit pas de l’arrêt de se droguer, mais il s’agit du suicide. On a décidé de mourir "d'une belle manière" – de surdosage, dans une langueur agréable. Chacun pique à l'autre, le dernier – à soi-même. On a jeté sur les doigts, je me suis retrouvé le dernier. J'étais heureux, je pensais que ce sera plus facile ...
Eh bien, je ne veux pas continuer... Ils l’ont fait. Et moi – je n’ai pas pu. Je tenais longtemps l'aiguille près de la veine... Au total j’ai réduit la dose et je me suis piqué. Quand je me suis réveillé, mes amis étaient déjà morts. Je me suis levé doucement et parti. Jusqu'à présent, c'est mon secret. Le secret terrible.
Après cela j'utilisais pendant une année, dans d'autres sous-sols, dans d'autres compagnies. Mais je n’ai pas pu continuer de vivre comme ça. Les idées sur le suicide me visitaient de plus en plus souvent. Et j'ai réalisé que cette fois je vais me décider. Il y avait de voies – en finir avec la drogues ou bien avec la vie... Je ne sais pas exactement qui remercier pour m'avoir aidé à sortir de la drogue, mais j'ai choisi le premier variant. Je ne me souviens pas exactement comment, mais un jour, je me suis réveillé avec une envie folle de sortir de ce trou ...
J'ai tué deux personnes, j'ai décidé de rester, mais je ne reviendrai pas là-bas. Une telle chance dans la vie est unique.
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